Je ne pensais pas dire ça un jour, mais je n’ai pas touché ma carte Navigo depuis plusieurs semaines. Ce n’est pas un boycott, ni un caprice. C’est juste qu’un matin, j’ai pris un vélo TENWAYS pour aller travailler, et je n’ai plus voulu revenir en arrière.
Le changement a été simple, presque discret. Pas de grande décision, pas de plan. Juste l’envie d’essayer autre chose que la rame bondée à 8h.
Moins de stress, plus d’air
Quand j’ai reçu mon TENWAYS CGO800S, je ne pensais pas qu’il allait bouleverser ma routine. Mais dès la première semaine, je me suis surpris à sortir plus tôt de chez moi, juste pour profiter du trajet. L’air du matin, les rues calmes, le mouvement régulier du pédalage — c’était comme réapprendre à respirer en ville.
Le vélo est confortable. Il absorbe les petits chocs, le guidon est souple, la position est droite. Ce n’est pas un vélo de sport, c’est un vélo pour vivre avec. Et c’est justement ce dont j’avais besoin.

Un vélo pensé pour la vraie vie
Le TENWAYS ne m’a pas seulement offert une alternative au métro. Il m’a offert un nouvel équilibre.
Ce que j’ai remarqué au quotidien :
- Pas besoin de recharger tous les jours : l’autonomie couvre largement mes allers-retours
- Pas de bruit, pas de chaîne qui saute : la courroie est silencieuse et ne demande aucun entretien
- L’éclairage intégré est assez puissant pour rentrer de nuit sans stress
- Le tableau de bord est simple : batterie, vitesse, rien de plus
Le CGO800S a un petit plus : une tige de selle suspendue qui rend les pavés beaucoup plus supportables. C’est un détail, mais à Paris, c’est précieux.
Ce que je gagne à chaque trajet
Avant, mes matins commençaient dans un wagon mal ventilé, les yeux rivés sur un téléphone, l’esprit déjà fatigué. Maintenant, j’arrive au bureau un peu plus léger. Ce n’est pas que le vélo rend tout parfait — il pleut parfois, il fait froid. Mais je garde la main sur mon rythme.
Et je ne suis pas le seul. Depuis que je roule avec un TENWAYS AGO X, deux collègues s’y sont mis aussi. On se croise parfois sur les pistes cyclables. On échange un signe de tête. C’est simple, et ça fait du bien.

Un vélo pour tout faire
Le plus surprenant, c’est que je ne me contente plus de l’utiliser pour aller bosser. J’ai commencé à faire les courses avec. Je suis allé voir des amis à l’autre bout de la ville. J’ai même testé le TENWAYS Cargo One prêté par un voisin pour emmener mon neveu au parc.
Quelques exemples concrets :
- Deux sacs pleins accrochés sans perte d’équilibre
- Aucun problème pour monter une côte du 20e arrondissement
- Batterie encore à moitié pleine après une journée entière
Ce sont des choses que je ne m’autorisais pas avec un vélo classique. Le côté électrique du TENWAYS efface juste assez l’effort pour que tout devienne possible.
Une décision que je ne regrette pas
Il y a encore des jours où je regarde la pluie et où je me dis : “Aujourd’hui, je prends le métro.” Mais très vite, je me rappelle que sur mon vélo TENWAYS, je ne suis jamais bloqué, jamais compressé, jamais dépendant d’un horaire ou d’un changement de ligne.
C’est cette liberté, aussi discrète soit-elle, qui a tout changé.